DANS CE BORDEL, spectacle chorégraphique des finissantes | 22 au 25 avril 2021

Le Département de danse de l’UQAM présente
DANS CE BORDEL, deux œuvres créées et interprétées par les finissantes du baccalauréat en danse dans le cadre du cours Spectacle chorégraphique libre sous la direction de la professeure invitée Caroline Laurin-Beaucage.

Message des finissantes de la cohorte 2021

RIEN À SAUVER
Chorégraphie :
Claire Pearl

Interprètes :
Léonie Bélanger
Fanny Bélanger-Poulin
Béatrice Cardinal
Camille Courchesne-Couturier
Jacynthe Desjardins
Émilie Perrault

Collaborateurs.rices :
Oeil extérieur - Hasna Lionnet
Répétitrices - Anne Thériault et Isabelle Poirier
Vidéaste de la bande annonce - Etienne De Durocher
Conception sonore -Adrien Poulin
Photographe - Mitzi Casadei

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RIEN DE NOUVEAU
Chorégraphie et conception musicale :
Mélusine Bonillo

Interprètes :
Margaux Guinot
Léa - Kenza Laurent
Johanna Simon
Lola Thirard
Estelle Weckering

Collaborateurs.rices :
Photographe_Aimé Filion
Vidéaste de la bande annonce_Samantha Blake
Responsable des règles sanitaires durant le tournage_Jacynthe Desjardins
Oeil extérieur_Châtelaine Côté-Rioux
Conseiller_Jules O’Connor
Conseillère_Charlotte Raoutenfeld
Répétitrice_Audrey Bergeron

Équipe de production :
Éclairagiste_Karine Gauthier
Directeur technique_Jason Pomrenski
Technicienne en travaux pratiques_Éliane Cantin
Direction de production_Alain Bolduc
Graphiste_Sabina Roman
Collaborateur technologique_Julien Blais
Cours sous l’aile de Caroline Laurin-Beaucage


DANS CE BORDEL, deux œuvres créées et interprétées par les finissantes du baccalauréat en danse dans le cadre du cours Spectacle chorégraphique libre sous la direction de la professeure invitée Caroline Laurin-Beaucage.

RIEN À SAUVER

RIEN À SAUVER est une pièce dont l’objectif n’est autre que de trouver la permission d’être. Alors qu’exister semble de plus en plus complexe, ici une porte s’ouvre sur un monde aux chemins multiples – chaotiques et éclectiques – où tout est permis. L’environnement, l’espace et l’esthétique sont en constante redéfinition au rythme des imaginaires multiples des interprètes. C’est à elles de se retrouver seules et ensemble, face à ces possibilités qu’elles créent et qu’elles subissent, qu’elles bâtissent et qu’elles détruisent.

C’est – peut-être – à n’y rien comprendre

Chorégraphie :
Claire Pearl

Interprètes :
Fanny Bélanger-Poulin
Léonie Bélanger
Béatrice Cardinal
Camille Courchesne-Couturier
Jacynthe Desjardins
Émilie Perrault

Oeil extérieur :
Hasna Lionnet
Répétitrices :
Anne Thériault
Isabelle Poirier

Vidéaste teaser :
Etienne De Durocher
Conception sonore :
Adrien Poulin
Photographe :
Mitzi Casadei

Présentation des finissantes :

Originaire de Montréal/Tiohtià:ke, Fanny Bélanger-Poulin complète présentement un baccalauréat en danse, concentration pratiques artistiques, profil interprétation. Après avoir pratiqué la gymnastique artistique depuis son jeune âge, elle débute une démarche en danse contemporaine auprès de la troupe Exit 505, d’abord dirigée par Marie-Ève Albert, puis par Anne Thériault et Simon Xavier-Lefebvre. Aussi intéressée par les arts visuels et le théâtre, elle termine ses études secondaires à l’École Robert Gravel, où elle s’intéresse plus particulièrement à la

scénographie et poursuit des études préuniversitaires en arts visuels au Cégep du Vieux-Montréal, dont elle gradue en 2017. En 2019, Fanny Bélanger-Poulin est interprète pour la pièce Just the worst Time of the Year for a Revolution, adaptation libre de la pièce Hamlet Machine, d’Heiner Müller réalisée par le collectif Les Erreurs Choisies et présentée dans le cadre du Festival Fringe. Elle souhaite continuer d’approfondir ses recherches en mouvement en plus explorer les possibilités interdisciplinaires que lui amène sa pratique de la danse.

Établie à Montréal et d’abord formée en musique classique, Léonie Bélanger choisit de poursuivre ses études en danse contemporaine au cégep de Saint-Laurent, puis au baccalauréat en danse concentration pratiques artistiques, profil interprétation. Au cours de sa formation, elle fait entre autres la rencontre d’Anne Lebeau, de Catherine Gaudet, de Frédérick Gravel, de Caroline Laurin-Beaucage et de Catherine Lavoie- Marcus. Portant un intérêt marqué pour le travail d’interprète dans toutes ses

dimensions et fasciné par les nombreuses strates de sens auxquelles elle peut accéder physiquement, elle se sent à la fois animée par la performance, la création ainsi que par la posture d’œil extérieur. Elle compte d’ailleurs à son actif quelques projets interdisciplinaires en cocréation dans lesquels elle questionne ce qu’est l’incohérence en art, poussant parfois ses idées dans des zones absurdes. Avide de danser ce qu’elle ne peut expliquer, Léonie garde ses sens éveillés et se laisse inspirer par tout ce qui la touche.

Béatrice Cardinal est une interprète/performeuse, finissante du baccalauréat en danse, concentration pratiques artistiques, profil interprétation. Au courant de son parcours académique, elle a eu la chance de pouvoir travailler avec entre autres Frédérick Gravel et Catherine Lavois-Marcus, en plus de participer à plusieurs projets Passerelle840, autant comme chorégraphe, qu’en tant qu’interprète.

Outre son intérêt marquer pour la danse, elle a de l’expérience en théâtre et elle s’intéresse à la création de décors et de costumes. Elle a aussi un intérêt pour les processus de création et elle est fascinée par l’être humain, et tout ce qui le compose, l’habite, le motive ou le dérange. Avec son art, elle cherche justement à entrer en contact avec les autres en les laissant entrer dans son univers, pour qu’ils en ressortent avec une bribe de ce qu’elle est.

Camille Courchesne-Couturier est une artiste interprète originaire de Tiohtià:ke/Montréal qui évolue dans son écosystème créatif, dans les champs du mouvement et de la création. Finissante du baccalauréat en danse, concentration pratiques artistiques, profil interprétation, Camille s’est tout d’abord formée en ballet et a suivi une formation de cinq ans en théâtre. Elle a ensuite poursuivi ses études au collégial, en obtenant un diplôme en Danse contemporaine au Collège Montmorency, où elle est lauréate de la Bourse du mérite de la

formation préuniversitaire en danse. Elle s’intéresse au mouvement, à la performance, au théâtre, au chant, à la création, ainsi qu’aux médiums vidéo et de l’art visuel. Camille est passionnée par le plaisir de bouger et de partager ainsi que par cette rencontre avec d’autres êtres sensibles que permet la danse. La danse et le mouvement sont pour elle une découverte de mondes, de l’inconnu, exploré par le corps, dans une plongée sensorielle et créative à travers l’univers dans lequel il évolue.

Claire Pearl est une chorégraphe de danse contemporaine et artiste interdisciplinaire basée à Tiohtià:ke/ Montréal. Son style, en évolution constante, explore l’absurdité dans ce qui est viscéral au travers de thèmes majeurs comme l’amour, le sacré et la folie. Épaulée par Caroline Laurin-Beaucage, Danièle Desnoyers et Dominique Porte, Claire se dédie durant cette dernière année à créer diverses

œuvres et essais remettant en question le collage en chorégraphie. Intrinsèquement interpellée par l’Art, elle tente de combler cette soif par la photographie, la poésie, l’art visuel, et le théâtre, qu’elle conjugue dans sa vision artistique. À présent, elle termine ses études dans le profil création de la concentration pratiques artistiques du baccalauréat en danse où elle questionne ce qu’est la permissivité totale.

Émilie Perrault, débute son baccalauréat en danse concentration pratiques artistiques, profil interprétation, en 2018. Lors de sa formation, elle collabore à la création des spectacles Un excellent choix culturel, dans le cadre du cours spectacle chorégraphique dirigé par Frédérick Gravel. Ainsi que Questions de brûler fières avec Catherine Lavoie-Marcus pour le spectacle de répertoire. Ses enseignants, Anne Lebeau, David Rancourt, Emmanuelle Bourrassa-Beaudoin, Danièle Desnoyers, Caroline Laurin-Beaucage permette à Émilie de déconstruire l’image du danseur virtuose et d’ouvrir la porte à

une nouvelle manière de collaborer avec son corps. Elle s’intéresse à l’importance du plaisir et de la musique dans sa pratique au quotidien, la répercussion de l’imaginaire et de la parole sur son corps, ainsi qu'à l’apprentissage et l’intégration de nouvelle gestuelle afin de s'offrir de nouvelle manière de se mettre en mouvement. Au courant de sa formation, elle développe un intérêt pour la mise en forme et sa relation à la santé physique et mentale à travers le mouvement. À la sortie de l’école, elle envisage de renforcer sa formation en danse ainsi qu’acquérir une formation comme entraineuse privée.

Finissante du baccalauréat en danse concentration pratiques artistiques, profil interprétation, Jacynthe Desjardins aura eu l’occasion de travailler avec de nombreux chorégraphes et artistes de la scène, dont Frédérick Gravel, Nicolas Cantin, Catherine Lavoie-Marcus, Catherine Gaudet, Caroline Laurin-Beaucage ainsi que Danièle Desnoyers. Aussi titulaire d’un diplôme en lutherie, fabrication de guitare classique de l’école-atelier Bruand,

Jacynthe s’intéresse au lien entre la musique et la matière. S’ajoute, aussi à sa pratique, une curiosité pour l’implication du corps au quotidien, tous domaines confondus, que ce soit le travail manuel passant par un intérêt grandissant pour les arts martiaux. Au courant de sa formation, elle développe un intérêt pour l’importance de notre héritage, soit l’histoire de la danse et souhaite approfondir cette recherche au cours de son parcours professionnel.

RIEN DE NOUVEAU

Célébrer nos corps, prendre parole, refuser le rationnel pour créer un art commotionnel et radical. Ce spectacle est une rencontre vulnérable et brutale entre plusieurs êtres. Dans ce contexte si particulier, où est la place du toucher ? De l’amour ? De la révolte ? Nous vous présentons nos blessures, nos victoires et nos défaites. Création in vivo (à partir de ce qui est déjà là), Rien de nouveau s’inscrit dans une recherche de transcendance, nos enveloppes corporelles en sont le vecteur. Témoignage d’une volonté appelant à la dé-construction, l’inconscient nous martèle pour créer une forme hybride et poreuse où nous laissons la place à l’indicible. 

Chorégraphie
et conception musicale :
Mélusine Bonillo

Interprètes :
Léa - Kenza Laurent
Margaux Guinot
Johanna Simon
Lola Thirard
Estelle Weckering

Musique de fin :
Narcisse (Remix) de Narcisse & Super Plage

Oeil extérieur :
Châtelaine Côté-Rioux
Conseiller :
Jules O’Connor
Conseillère :
Charlotte Raoutenfeld
Répétitrice:
Audrey Bergeron

Photographe :
Aimé Filion
Vidéaste teaser :
Samantha Blake
Responsable des règles sanitaires durant le tournage :
Jacynthe Desjardins

Remerciements : 
Merci à Caroline Laurin-Beaucage, Danièle Desnoyers, Alain Bolduc, Eliane Cantin, Samantha Blake, Aimé Filion, Charlotte Raoutenfeld, Châtelaine Côté-Rioux, Jules O'Connor, Narcisse et à tous.tes ceux.celles qui ont contribué à notre processus créatif. 

Présentation des finissantes :

Mélusine Bonillo a reçu divers enseignements qui ont fait d’elle une artiste fondamentalement pluridisciplinaire (théâtre, musique, performance, danse) en
particulier pendant son stage au Bélarus avec l’association Demain le printemps mais aussi grâce à Sylvie Tourangeau et Sarah Dell’Ava . En tant qu’interprète elle a participé́ en 2017 au festival d’Avignon OFF avec Frontières d’Alexandre Martchenko, en 2019 au ZH festival avec CALI de J.J. Houle ainsi qu’au OFFTA avec Là / dans la convergence en co-création avec un collectif d’artistes. Ses

premières créations chorégraphiques sont des solos créent pour le Festival Passerelle 840. Le premier intitulé DUO qu’elle chorégraphie et interprète et le second E.N.D. interprété́ par Châtelaine Coté́-Rioux. Mélusine ne pourrait séparer sa vie artistique d’une volonté́ de transmission de son amour pour l’art. Ainsi, en 2019 Mélusine met en oeuvre, avec J.J. Houle, un atelier de théâtre à la Maison des Jeunes de Sorel-Tracy (avec l’aide financière de l’UQAM et de l’ENT). En ce moment elle donne des cours de danse au sein de l’ATQ (aide aux personnes trans du Québec).

Margaux Guinot est finissante du baccalauréat en danse concentration pratiques artistiques, profil interprétation. Depuis très jeune elle s’intéresse au mouvement. Elle raffine cet intérêt au fil du temps, en faisant un double DEC en danse et sciences humaines au collège de Montmorency. Dans son DEC en sciences humaines, elle suit de nombreux cours de psychologie et de sociologie, ce qui lui permet de s’interroger sur l’individu. Elle prend plaisir à utiliser ses connaissances et à intégrer ses

questionnements dans son parcours en danse. Elle éprouve beaucoup de joie à découvrir et approfondir ses connaissances en tant qu’interprètes en interagissant avec les autres. Elle a appris beaucoup de son passage au Département de danse de l’UQAM, où elle a eu la chance de travailler auprès de nombreux professionnels. Sa curiosité ne se limite cependant pas qu’à la danse, car elle a la conviction qu’un esprit informé et critique lui offre plus de possibilités dans sa pratique artistique.

Léa Kenza Laurent, artiste montréalaise d’adoption, termine cette année son baccalauréat en danse concentration pratiques artistiques, profil interprétation. Très intéressée, depuis toujours, par la recherche, le corps et le mouvement, elle tente perpétuellement de se réinventer, de découvrir de nouvelles fenêtres sur le monde. De nature très curieuse, elle pratique également le chant, le piano et la peinture, elle s’applique à continuellement apprendre des autres, du monde et d’elle-même. Son imagination débordante l'amène à créer. Ses essais multiples, principalement en solo, oscillent entre abstraction et réalité, oubli et conscience, limites et aisances, toujours teintées d’un

dégoulinement constant vers un abandon du réel pour accéder à l’inconscient dans un monde coloré et expérimental. Cependant, elle s'identifie principalement en tant qu'interprète. Elle aime à travers cela s'abandonner aux œuvres d'autrui pour faire vivre l'art sous toutes ses formes. Elle adore se plonger au plus profond du travail de différents créateurs pour découvrir la complexité se dégageant de chacun des projets, jouer avec les propositions et creuser sans fin dans les multiples chemins empruntés. Cette pratique lui ouvre également de nouveaux champs d'études en recherche et en création lui permettant de se réinventer continuellement.

Passionnée de danse, Johanna Simon fait ses premiers pas à l’école Evidanse dans le sud de la France. Sous le charme de cette pratique en constante évolution, elle s’oriente vers une licence universitaire en sciences et techniques des activés physiques et sportives. Mais son désir de découverte s’étend au-delà des frontières européennes et l’amène sur un territoire inconnu : le Canada. Elle tombera en amour avec l’enseignement de la danse contemporaine à l’UQAM. Les références qu’elle y croise lui donneront l’envie de devenir interprète. Elle collaborera dans plusieurs performances Carte Blanche (cocréation Passerelle),

Rien de nouveau de Mélusine Bonillo, Question de brûler fières de Catherine Lavoie-Marcus et Un excellent choix culturel de Frédéric Gravel. La danse devient sa profession, sa façon de vivre, son univers. Elle aime explorer la puissance et la vulnérabilité du corps en mouvement, l’énigmatique et sensible frontière entre ses luttes et ses aspirations. Johanna désire redonner sa valeur au milieu artistique en créant un espace professionnel dédié à la danse et au partage multiculturel, dans un environnement propre au Québec, en milieu naturel, source de grandes inspirations et aspirations.

Finissante du baccalauréat en danse concentration pratiques artistiques, profil interprétation, Lola Thirard est une grande curieuse et cherche toujours à approfondir ses recherches dans la pratique. Dans cette formation elle a beaucoup appris sur elle-même et sur ce que pouvait être la danse. Elle danse depuis plus de 20 ans et priorise sa passion dans ses choix de vie. Elle est fascinée par l’humain sous toutes ses facettes. C’est en étudiant l’anatomie, la biologie et la microbiologie au CÉGEP qu’elle a découvert un intérêt immense pour le corps humain dans toute sa complexité. Lola a

également développé un grand intérêt pour la psychologie et se régale à comprendre le fonctionnement de l’esprit, aussi complexe soit-il. La danse est donc un moyen formidable de mettre en pratique ses apprentissages en conscientisant corps et esprit. Elle a participé à quelques projets étudiants pendant son parcours universitaire ce qui lui a permis de diversifier son approche du mouvement. C’est avec beaucoup d’espoir qu’elle se lance dans une carrière d’interprète pour continuer d’apprendre quotidiennement sur elle-même et sur sa passion.

Originaire de France, Estelle Weckering est une interprète-créatrice arrivée à Tiohtià:ke / Montréal en septembre 2019, suite à un échange avec l’université des arts de Strasbourg. Elle porte avec elle un bagage technique en danse contemporaine par sa diplomation en conservatoire et elle se forme parallèlement en théâtre physique et à l’histoire de l’art.
Au cours de sa formation et de stages, la rencontre du travail de Lisbeth Gruwez, Giselle Vienne et Maguy Marin l’ont amené à découvrir l’exploration des états corps et la présence scénique. À son arrivée à

l’UQAM, elle a eu la chance de participer à deux co-créations : Un excellent choix culturel de Frédérick Gravel et Nicolas Cantin ainsi que Questions de brûler fières de Catherine Lavoie-Marcus.
Passionnée par les arts vivants depuis son plus jeune âge, elle porte un grand intérêt pour la somatique, les relations humaines et la psychologie. Sa recherche chorégraphique s’en inspire et est explorée par un partage et une connexion avec d’autres artistes interdisciplinaires. Les arts plastiques, musicaux et visuels font partie des médiums qui l’animent également.

Équipe de production

Éclairagiste_Karine Gauthier
Sonorisateur_François Perrier
Directeur technique_Jason Pomrenski
Technicienne en travaux pratiques_Éliane Cantin
Direction de production_Alain Bolduc
Collaborateur technologique_Julien Blais
Graphiste_Sabina Roman
Responsable de la captation_Marek Sarosiek
Caméramans_Do Phan Hoi et Thomas Hue-Hermier


WEBDIFFUSION EN DIFFÉRÉ
Jeudi 22 avril 2021
Vendredi 23 avril 2021
19 h
(Un billet permet d’obtenir un lien de visionnement unique et non transférable)
https://lepointdevente.com/billets/7vg210422001WEBDIFFUSION EN REPRISE
Du samedi 24 au dimanche 25 avril 2021 inclusivement
(Un billet permet d’obtenir un lien de visionnement non transférable valide en tout temps durant cette période)
https://lepointdevente.com/billets/7vg210406001

Le lien de webdiffusion sera transmis via courriel par la billetterie lepointdevente.com (vérifiez vos spams!).

Le lien en direct sera accessible dès 18 h 45 le jour de la représentation.
TARIFS (taxes incluses + frais de service) :
Webdiffusion en direct ou en reprise (1 personne) : 10$ (11,59$)
Webdiffusion en direct ou en reprise (à partir de 2 personnes) : 15$ (16,82$)

Département de danse

Le Département de danse de l’UQAM offre un enseignement universitaire qui apporte de nombreux avantages à l’artiste en devenir. Assuré d’une formation rigoureuse au quotidien, il développe tout à la fois technique corporelle et pensée réflexive sur sa profession et ses habiletés

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