Mercredi 21 mai de 16h à 19h Performance de Kimberley de Jong et Nicolas Patry, suivie d’une discussion avec la chercheuse Mélissa Raymond et les artistes. Boissons et petites bouchées seront servies.
Jeudi 22 mai de 19h à 20h Performance de Kimberley de Jong et Nicolas Patry. Département de danse de l’UQAM 840, rue Cherrier, studio 840 (LAVI) Information : raymond.melissa.2@courrier.uqam.ca Entrée libre, réservation ici.
Recherche-création doctorale de Mélissa Raymond Recherche-création réalisée dans le cadre du Doctorat en études et pratiques des arts sous la direction de Johanna Bienaise (Département de danse) et d’Anne Bénichou (École des arts visuels et médiatiques) en collaboration avec Espace Perreault et avec le support du Fonds de recherche du Québec (FRQ).
Chorégraphier les restes porte sur les mémoires de la danse telles qu’elles sont vécues et remémorées par des danseur·euses. Les artistes participant·es sont invitées à faire émerger en mouvement ce qui reste gravé dans leur mémoire corporelle des œuvres dansées dans le passé. Ce projet s’appuie sur le concept de corps-archive et sur le champ émergeant des écosomatiques afin de cerner les particularités de cette archive vivante et de son pouvoir agissant au présent.
Cette recherche-création affirme la persistance de la danse dans la mémoire corporelle des danseur·euses. Elle célèbre l’aspect collectif de la danse par une vision écosystémique des processus de création.
Biographie de Mélissa Raymond Diplômée du département de danse contemporaine de l’Université Concordia et détient une maîtrise en urbanisme de l’Université de Montréal. « La conversation, le roadtrip, la documentation, la collection sont certains des procédés qui permettent de générer la matière de mon travail chorégraphique et artistique. Mon processus créatif passe habituellement par la documentation d’expériences vécues et leur traduction dans l’espace chorégraphié dans un jeu entre fiction et recherche de la réalité, entre processus et représentation. L’atelier de recherche chorégraphique de Montréal Danse me permet de reprendre certains aspects du projet Movement of the month (2011-2012) développé alors que je vivais à Puerto Rico. C’est une occasion de poursuivre et de partager une quête sur les séquences de mouvements de chorégraphies passées gravées dans la mémoire corporelle, la façon de les réactiver, leur façon de surgir dans le quotidien. C’est la possibilité de voir ces idées prendre de l’expansion et de vivre une période intense d’échanges. »
6 mai 2025 à 17h 7 et 8 mai 2025 à 19h Au Studio 840 Département de Danse de l’UQAM 840, rue Cherrier Présentation publique Événement gratuit Durée : 1h30
L’exposition sera ouverte du lundi 5 au jeudi 8 mai 2025, de 10h à 17h30, au local K-2210 (2e étage du Pavillon de Danse de l’UQAM).
Danser le corps-territoire : strates, spectres, et errances Performance et exposition autour du projet doctoral en recherche-création de Germain Ducros
« Danser le corps-territoire: strates, spectres et errances » est une thèse de recherche-création au Doctorat en Études et Pratiques des Arts (UQAM), dirigé par Louis-Claude Paquin. Ce projet interdisciplinaire, où coexistent la danse située, la vidéo et la création sonore, est une tentative de mieux comprendre et expliciter les chemins de l’improvisation située, les affects sensoriels à l’œuvre et les mouvements qui émergent lors de la rencontre avec les territoires où sont nés ses quatre grands-parents, en France, en Italie et en Algérie. C'est une approche singulière du territoire comme collaborateur et co-auteur de la recherche-création, une proposition de rencontre écosomatique qui vise à partager une autre façon d’être au monde et avec le monde.
Déroulé Un temps de mise en corps collective, un temps de performance, un temps de partage, un temps d’errance. La performance, créée à partir de matière chorégraphique récoltée pendant les résidences de recherche-création avec les quatre territoires du terrain de recherche, puis transposée dans l’espace du Studio840, s’accompagne d’une création sonore et de séquences provenant des vidéos réalisées in-situ par Scott Brownlee.
Exposition Affleurements, un espace-témoin, présente une sélection d’archives visuelle et sonores permettant de rendre compte du processus de recherche-création dans son ensemble. L’exposition sera ouverte du lundi 5 au jeudi 8 mai 2025, de 10h à 17h30, au local K-2210 (2e étage du Pavillon de Danse de l’UQAM).
Chorégraphie, interprétation, création sonore : Germain Ducros Conseil artistique : Philippe Poirier Éclairages et technique : Eliane Cantin et Annemarie Maeng Vidéo et crédit photo : Scott Brownlee
Biographie Germain Ducros est un artiste-chercheur et pédagogue basé à Tioh:tià:ke - Mooniyaang - Montréal. Il s'intéresse aux relations possibles entre corps sensible, paysage sensoriel et territoire, dans une pratique qui tisse ensemble le mouvement situé, la création sonore et les arts visuels. Après une maîtrise en linguistique et dix ans d’enseignement des langues en France, il entame en 2021 un doctorat en Études et Pratique des Arts à l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Louis-Claude Paquin. Son projet de thèse en recherche-création gravite autour du concept de corps-territoire comme état de corps, et cherche à mettre en lumière l’importance des affects sensoriels dans la relation dansée avec l’espace et le vivant. Son approche se diffuse en studio, en extérieur et dans des lieux de patrimoine, au Québec comme en France. Il est aussi facilitateur d'ateliers chorégraphiques, interprète somatique du patrimoine, performeur protéiforme et conférencier occasionnel.
Mercredi 16 avril à 12h45 Au Studio 840 Département de Danse de l’UQAM 840, rue Cherrier Événement gratuit
Un film de Marie Lavorel, Tamar Tembeck et Paul Tom Avec la participation de Louise Bédard, Erin Flynn, Paul-André Fortier, José Navas 2024, 22 min, bilingue français-anglais, sous-titres
Danser avec le temps / Dancing with Time est un court-métrage documentaire bilingue qui met en scène quatre danseurs-chorégraphes montréalais face au vieillissement. Erin Flynn (quarantaine), José Navas (cinquantaine), Louise Bédard (soixantaine) et Paul-André Fortier (soixante-dizaine) relatent comment ils évoluent aujourd’hui avec leurs corps changeants, ainsi qu’avec les exigences du milieu artistique. Devant leurs réponses à la question «en tant qu’artiste, qu’avez-vous gagné avec l’âge?», nous découvrons comment ils composent avec bienveillance, humilité et créativité face à l’enjeu du vieillissement.
À travers les témoignages des protagonistes, nous observons les forces que peut apporter l’âge à ces artistes du mouvement. Sans nier les deuils ni les adaptations auxquels ils ont été confrontés, ils nous parlent des gains qu’ils ont réalisés avec la reconnaissance et l’acceptation croissante de la fragilité de leurs corps. Ils traitent de thèmes qui dépassent les limites du vieillissement pour rejoindre des sujets pertinents à la création : le soin du corps et les limites physiques, la bienveillance envers soi et autrui, le plaisir de danser, le rapport au public et au milieu des arts vivants, la maîtrise de l’art, la confiance, l’humilité et son contraire. Ce qui nous lie à leurs histoires, ce sont les gains en termes de patience, de compassion, d’amour et d’urgence de vivre ainsi que de créer qui semblent s'affirmer avec le passage du temps.
Une production du collectif Euphrosyne, avec le soutien financier du Conseil des arts du Canada et du Conseil des arts et des lettres du Québec, ainsi que le soutien du Laboratoire nouveaux médias d’OBORO et PRIM.
Euphrosyne est un collectif d’artistes composé de Marie Lavorel, Tamar Tembeck et Paul Tom. Marie Lavorel est commissaire-autrice en plus d’être chercheure-créateure en installation audio et en documentaire; Tamar Tembeck est commissaire et autrice ayant un parcours en arts de la scène; et Paul Tom est cinéaste de documentaire et d’animation. Tous s’intéressent à l’histoire orale, aux mémoires sensibles, et aux représentations et expériences du corps.
Du 9 au 12 avril 2025, à partir de 19h30, le Département de danse de l’UQAM vous convie à une soirée chorégraphique qui regroupe des projets originaux initiés par les personnes étudiantes en fin de baccalauréat. Quatre univers singuliers qui vous feront voyager de la danse baroque aux street dances, en passant par la performance et l’expérimentation d’états de corps inouïs. Avec des mains fragiles est une ode aux gestes qui s’esquissent avec incertitude, qui soupèsent la précarité du monde ou qui dessinent les contours tendres de nos intimités amicales. Trois pièces seront présentées les 9, 10 et 11 avril. Le 12 avril seulement, à la suite de celles-ci, une quatrième pièce prendra le relais : une nuit chorégraphique où le public sera libre d’entrer et sortir entre 21h à 6h du matin.
9 au 11 avril 19h30 - 21h 12 avril 19h30 - 6h du matin Billetterie lepointdevente.com Pavillon de danse de l’UQAM 840, rue Cherrier Métro Sherbrooke
Idéation et chorégraphie : Antonin Desmarais Fjord Gagnebin Anissa Nadeau Fabian Silguero En collaboration avec les interprètes-créatrices
Ce solo est une fête 20 minutes Je m’emmerde - Guerilla Poubelle Avec des mains fragiles, ces mains incertaines, qui cherchent en vain, Antonin Desmarais propose un essai performatif à la frontière entre danse et art du cirque. Grandement inspiré par les magasins à 1$, avec leurs étalages de prêt-à-jeter, ces objets festifs sans âme, des petites morts en série, ce solo est une fête. Comment célébrer sans rien avoir à célébrer ? Par des mises en échec constantes, l’œuvre tente de trouver les voies de célébration au sein d’un espace vertical qui s’érige sur scène. Elle nous invite au cœur de festivités précaires, où, si les fins sont limpides, les moyens restent inconnus, enfouis. Répétitions, mises en tension et inversions viennent tranquillement tisser les liens entre corps et objets. Sur la photo : Antonin Desmarais - Crédit Adrien Poulin
Processus de création : Le processus de création en fut un de sérendipité quasi constante. Comment rester étranger à des savoir-faire précis ? Se laisser surprendre constamment. Sans aucune figure de style : se fermer les yeux pour qu’une fois réouverts, on puisse voir au-delà des murs. Entre grande joie et angoisse, les heures de studios se sont suspendus dans mon imaginaire. De ces heures, des réminiscences apparaissent, tel un babillard à souvenirs, entre fête d’enfants et spectacle punk. Si cette performance n’est pas un dîner de gala, il n’en reste pas moins que ce solo est une fête.
Biographie de l’artiste : Antonin Desmarais est un artiste multidisciplinaire basé à Tiohtiá:ke / Montréal. Son intérêt pour les arts de la scène s’est d’abord développé à l’orée de l’âge adulte lors d’un voyage en Europe, où il eut la piqûre pour les arts du cirque par l’intermédiaire de communautés alternatives. Si sa pratique s’est davantage orientée vers la danse et le mouvement contemporain au fil des années, elle n’en demeure pas moins largement inspirée du cirque. Le travail chorégraphique d’Antonin interroge le concept de virtuosité, les violences inhérentes au dépassement des limites corporelles ainsi que les nouveaux seuils de conscience qu’elles engendrent. En parallèle de son baccalauréat en danse, concentration pratiques artistiques (UQAM), il est interprète pour Andrew Turner (2025) ainsi que pour les Productions Carmagnole au sein du spectacle Les Érotisseries (2022 et 2023). Sa recherche chorégraphique At last, des figures est présenté dans le cadre des LABDIFF à Tangente (2024). Sur la photo : Antonin Desmarais Portait - Crédit Abigail Lavigne
Idéation, chorégraphie et interprétation : Antonin Desmarais Accompagnement dramaturgique : Catherine Lavoie-Marcus Assistante aux répétitions : Claire Pearl Conception et régie sonore : Adrien Poulin
Regards extérieurs : Fanny Bélanger-Poulin Fjord Gagnebin Marie Lamothe Simon Musique : Brigitte Fontaine et Areski Belkacem Illustratrice : Fanny Bélanger-Poulin Captation et montage du matériel promotionnel Nicolas Arthur Dufour
Direction de production : Alain Bolduc et Xavier Curnillon Assistant à la production : Philippe Poirier Technicienne en travaux pratiques: Éliane Marie-Laure Cantin
La fronde des muses 20 minutes La Fronde des Muses met en scène sept femmes dans un univers baroque où se mêlent sororité, querelles, absurdité, jeu, acrobaties et singularité. C’est une œuvre campée dans l’esthétique danse-théâtre qui mise sur l’expressivité des corps. Allant de la danse baroque, soigneusement codifiée, à la danse contemporaine avec ses corps émancipés, l’œuvre tisse une rencontre inédite entre différents styles, entrelaçant des codes gestuels d’origine historique et actuelle, le tout sur des musiques variées. Dans cet espace où la collerette cède la place à la bavette, devenez témoins de nos corps affamés, avides de danser, portés par une soif inextinguible de liberté. Outre l’éclat de nos brocarts, laissez-vous saisir par ces tableaux qui oscillent entre élégance, grossièreté, noblesse, mesquinerie, délicatesse et bestialité. Nous vous présentons cette pièce avec des mains fragiles, dans l’espoir qu’elle arrive à vous charmer. Sur la photo : Anabelle Petit - Crédit Nicolas Arthur Dufour.
Processus de création L’idée de ce projet est née de ma volonté de clore le Baccalauréat en danse en rappelant les expériences qui ont marqué notre parcours universitaire à L’UQÀM. Ce projet n’était pas que pour moi, mais aussi pour mes collègues. C’était crucial qu’elles prennent part à la création chorégraphique, afin que ce projet nous rejoigne toutes d’une façon ou d’une autre. Ce fut d’abord un casse-tête de regrouper les intérêts de chacune, puis un jeu. Très tôt dans la recherche, je me suis demandé quelle esthétique pourrait regrouper ces styles gestuels singuliers. Mon intérêt pour l’art visuel a grandement influencé ce choix : certains tableaux sont d’ailleurs inspirés de mouvements artistiques ou de peintures marquantes de l’histoire de l’art. J’ai cherché à développer l’esthétique baroque en m’inspirant de la danse, la musique, le code vestimentaire et l’art de cette époque. Toujours avec l’envie de mixer les esthétiques, j’ai inclus certains codes vestimentaires contemporains empruntés aux artistes de la danse montréalaise auxquels nous nous identifions. Enfin, nous avons ajouté à notre pièce certaines références collectives, qu’elles soient scéniques, chorégraphiques, musicales, ou conceptuelles, afin de rendre hommage à nos collègues, nos enseignant.e.s et musicien.enne.s de l’UQÀM, qui ont pris part à notre formation professionnelle en danse.
Biographie de l’artiste : Originaire de Granby (Québec), Anissa Nadeau pratique la danse depuis son entrée au secondaire, là où elle a eu la piqûre pour cet art du mouvement. Ayant toujours eu la tête remplie d’idées artistiques, elle décide de poursuivre son parcours académique au Cégep de Drummondville, où elle sort diplômée d’un double DEC en danse et en arts visuels en 2021. Là-bas, elle sera principalement formée dans les styles jazz, ballet classique et moderne. Présentement étudiante au baccalauréat en danse de l’UQÀM, elle pratique la danse contemporaine et se spécialise dans le profil création. C’est au fil de son parcours universitaire qu’elle élabore sa première pièce devant public L’amour que l’on se donne, qui fut présentée au festival Passerelle840 d’hiver 2024. Ses intérêts chorégraphiques sont multiples, parmi eux les rapports humains et sociétaux, le travail de partenaire, le langage du corps en mouvement, le son et ses textures, l’art théâtral et l’abstraction. Elle aime créer ses propres univers et s’investit à les imprégner de sensibilité, d’authenticité, de vulnérabilité, d’intimité et, parfois, de quelques touches de folies. Son but est de ne laisser aucun spectateur indifférent. Crédit photo - Sandrine Petit
Biographie des artistes interprètes
Sabrina Colasante Originaire de Montréal, est une danseuse-interprète en street dance (popping, house, dancehall,heels) et contemporain, puis enseignante en danse hip-hop. Elle s’initie à la danse classique et hip-hop dès son jeune âge. Elle poursuit ses études en danse au Collège Montmorency, The School Of Dance et à l’Université du Québec à Montréal. Sa passion l’a amenée à participer à plusieurs projets, tels que le Super Méga Continental avec Sylvain Émard, la pièce De nos corps avec Caroline Dusseault, puis le vidéoclip Optical Delusion avec OM Sound. Elle a aussi participé à plusieurs battles de danse à Montréal et à Ottawa. Sa pratique s’est perfectionnée à Charlevoix, New York et à Londres. Sabrina est une artiste dévouée, authentique et polyvalente, qui est en constante recherche de multiples façons de se réinventer. Elle a un fort intérêt pour l’art théâtral, le mouvement expressif et les états de corps. Sur la photo : Sabrina Colasante, Marie-Laurence Fugère, Anabelle Petit et Anissa Nadeau - Crédit Nicolas Arthur Dufour.
Marie-Laurence Fugère Elle danse depuis l'âge de trois ans, et sa passion pour cet art n'a cessé de croître au fil des années. Originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu, elle a eu l'opportunité d'explorer une variété de styles, tels que le jazz, le contemporain, le hip-hop et le ballet moderne. Chaque discipline lui a permis d'enrichir ses compétences techniques tout en développant sa capacité à exprimer des émotions à travers le mouvement. Cette diversité lui a donné une compréhension approfondie du langage corporel et de l'expression scénique. Sur le plan académique, Marie-Laurence a également suivi des cours de théâtre, ce qui a renforcé sa présence scénique et sa compréhension des dynamiques de scène. Après le secondaire, elle a intégré le Cégep de Saint-Laurent, où elle a approfondi sa formation en danse contemporaine et classique, expérimentant différentes approches et techniques pour enrichir sa pratique. Actuellement, elle poursuit un baccalauréat en danse à l’UQÀM, avec une spécialisation en interprétation, alliant ainsi théorie et pratique pour perfectionner son art et enrichir sa compréhension du corps en mouvement. Sur la photo : Sabrina Colasante, Marie-Laurence Fugère, Anabelle Petit et Anissa Nadeau - Crédit Nicolas Arthur Dufour.
Anabelle Petit Originaire de Saint-Hyacinthe (Québec), Anabelle pratique la gymnastique artistique compétitive durant une dizaine d’années, avant de bifurquer vers la danse, à l’âge de 13 ans, recherchant une discipline moins rigide et plus créative. Elle explore notamment le ballet classique, l’acro-danse et le swing, mais c’est principalement en danse contemporaine qu’elle sera formée. Son intérêt marqué pour l’interdisciplinarité l’amène à poursuivre d’abord une formation professionnelle en cirque, où ses passions pour le théâtre, la danse et l’acrobatie pourront enfin cohabiter. Détentrice d’un Baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire, Anabelle s’intéresse tout particulièrement à la danse et au théâtre jeune public, désireuse d’initier les spectateurs de demain aux arts vivants. Enseignante en danse depuis 2013, la pédagogie et la transmission de son art font également partie de ses préoccupations, c’est pourquoi elle suit la Formation intensive en enseignement du Broadway Dance Center à l’été 2024. Anabelle sortira diplômée du Baccalauréat en danse de l’UQÀM, profil interprétation, au printemps 2025. Sur la photo : Sabrina Colasante, Marie-Laurence Fugère, Anabelle Petit et Anissa Nadeau - Crédit Nicolas Arthur Dufour.
Idéation et chorégraphie : Anissa Nadeau Interprètes en création et en performance: Sabrina Colasante Marie-Laurence Fugère Anabelle Petit Interprètes en performance : Charlotte Beaulieu Marie-Anne Rahimi Hannah Surette Accompagnement dramaturgique : Catherine Lavoie-Marcus Répétitrice : Jessica Serli
Conception d’éclairage : Jon Cleveland et Lee Anholt Direction de production : Xavier Curnillon et Alain Bolduc Assistant à la production : Philippe Poirier Technicienne en travaux pratiques : Éliane Marie-Laure Cantin Direction technique : Lee Anholt Conseillère à la création : Josiane Fortin
Conception musicale et régie son : Adrien Poulin Crédits musicaux : Piste Banjo par Louis Gagné So Low so Cool par Rockot Vivaldi - Winter (the four seasons) par Andre Antunes Vivaldi - Winter (the four seasons) par Jacques Bernard · Italian Baroque Ensemble Vivaldi - Winter (the four seasons) par Anonyme
Quêtes parallèles 20 minutes Quêtes parallèles est une danse de la liberté, une exploration où le corps devient le territoire d’une transformation intime et collective. L'œuvre dissocie les états internes du corps et fait évoluer les espaces, comme une mer calme se métamorphosant en tempête avant de retrouver la paix, passant de la contrainte à l’élan expansif. La pièce célèbre l’extase retrouvée dans des lieux vibrants, tels les boîtes de nuit, où l’âme se libère et s’élève. À travers des sources philosophiques, anthropologiques et artistiques, ce projet interroge la manière dont la libération sexuelle qui prend racine dans le corps en mouvement, comme une mélodie qui se déploie, et comment elle forge une communauté unie sous une même lumière, dans l’embrasement d’une liberté sans chaînes.
Processus de création Quêtes parallèles naît de l'expérience de mes premières années au Canada, dans les clubs et bars de Montréal. Après avoir vécu réprimé, j'ai trouvé un endroit dans le monde où je pouvais danser sans être jugé, embrasser et être réciproquement embrassé, et me libérer de tous ces tabous. Cette pièce est un reflet de ces labyrinthes et lieux que je traversais lors d'une nuit, un espace où la liberté et le chaos se rencontrent. Avec cette œuvre, j'invite le public à observer comment, en une seule nuit, de nombreux événements chaotiques et moments de dissociation peuvent se produire. L'esthétique de la pièce, à la fois douce et amère, se manifeste à travers l'interaction entre les deux interprètes, qui se connectent et se déconnectent continuellement. Beaucoup de ces connexions, aussi éphémères qu'une chanson, ne durent que trois minutes, ce qui reflète la fugacité des moments et des émotions que nous vivons. En ce qui concerne les aspects chorégraphiques, l'œuvre explore une tension émotionnelle constante, où les interprètes maintiennent un état de fragilité et d'énergie contenue. Les transitions entre proximité et distance, ainsi que les mouvements abrupts et fluides, créent une atmosphère chargée d'émotion qui garde le spectateur dans un état d'alerte permanent.
Fabian Silguero. Né en Colombie, Fabian est un artiste montréalais reconnu pour sa danse contemporaine innovante. Formé en danse et chorégraphie à l’Université du Québec à Montréal et au Collège Saint-Laurent, il s’est produit dans des événements internationaux tels que le Festival de danse en Chine et le Carnaval de Barranquilla. Ces expériences ont enrichi sa vision artistique et façonné un langage chorégraphique unique fusionnant diverses influences culturelles. Chorégraphe prolifique, il a signé des œuvres marquantes comme Sans repères : au-delà de l’immigration, Let's bring down the ******, et RedRedRed. Il a aussi créé Soleil d’Amérique, une pièce explorant les liens entre le corps, l’histoire et les cultures du continent américain. En plus de son travail de créateur, il a dirigé des festivals comme le Festival AIEM et le Festival CAFLA, valorisant la diversité et le dialogue interculturel. Reconnu par l’Assemblée nationale du Québec pour son engagement artistique, il a reçu le Prix de reconnaissance du Québec. Aujourd’hui, Fabian Silguero continue de redéfinir l’expression corporelle tout en transmettant son savoir-faire à de nouvelles générations de danseurs et créateurs. Sur la photo : Fabian Silguero - Crédit Kim Bouchard
Biographies des interprètes
Èvemarie Bourdeau-Lévesque Artiste en danse contemporaine originaire de Montréal. Formée à l'Académie du Ballet Métropolitain, elle développe une base solide en danse classique avant de poursuivre un baccalauréat en danse à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Cette double éducation, à la fois académique et artistique, lui offre une sensibilité unique et un regard attentif sur le mouvement. Elle obtient un diplôme d’études collégiales en communications médiatiques au Cégep du Vieux-Montréal, enrichissant ainsi sa capacité à présenter des idées complexes à travers des mediums variés comme la production sonore et le vidéo. Elle s’exprime aussi à travers sa poésie et sa musique. Inspirée par la philosophie absurde, le théâtre et la musique, Èvemarie se dévoile dans les pièces interdisciplinaires. Sa pratique est marquée par une rigueur technique et une maîtrise du corps qui lui permet d’explorer des univers chorégraphiques diversifiés et de libérer sa créativité. Sur 1. Sur la photo Èvemarie Bourdeau-Lévesque et Laurie Daraîche. - Crédits Cassandra Brunette 2. Sur la photo Èvemarie Bourdeau-Lévesque et Laurie Daraîche - Crédit fsdanse.com
Laurie Daraîche Danseuse professionnelle de 26 ans, excelle dans divers styles, des danses urbaines au contemporain. Diplômée en danse du Cégep Montmorency, elle poursuit un baccalauréat en danse à l'UQAM. Elle a aussi suivi des formations spécialisées, notamment en afro avec Loïc Reyel et Le Programme 9 & All Stars avec Andy Michel. Depuis ses 16 ans, Laurie enseigne la danse et est actuellement coach de la troupe Lightstorm à l’École de Danse Adéline. Laurie s’est distinguée dans des compétitions comme Hit The Floor et Révolution (saison 3) avec le groupe Uncrwnd, et danse actuellement pour l’équipe de basket professionnelle les Alliances de Montréal. Elle a également chorégraphié pour des événements tels que le Festival Afromonde, pour la chanteuse Fabienne Laferrière et la compétition The Beat en collaboration avec le groupe rap Alaclair Ensemble. Laurie a également eu l'opportunité de danser dans le film québécois Les Belles-Sœurs. Très active sur les réseaux sociaux, sous le nom de Laudaraiche, elle est reconnue pour son énergie, son charisme, sa bonne vibe et sa capacité à captiver son public. Laurie continue de se perfectionner, cherchant constamment à collaborer avec des artistes internationaux. Pour elle, la danse est bien plus qu’une passion : c’est une vocation et le langage de son âme, qu’elle exprime avec une fluidité, un groove, une musicalité, un flow et une maîtrise exceptionnels. Laurie possède une immense force, une personnalité marquée, et maîtrise l'art de fournir des performances impressionnantes.
Conception musicale et Régie Son : Adrien Poulin Conception d’éclairage : Jon Cleveland Lee Anholt Direction de production : Xavier Curnillon Alain Bolduc Assistant à la production : Philippe Poirier Direction Technique : Lee Anholt Technicienne en travaux pratiques : Éliane Marie-Laure Cantin
Crédits Musicaux Aya Nakamura - Pookie (Cyril M Edit) Reverberate Juul Exler – Sujet Fred again.. - Delilah (Sortez-moi de ça)
Cartographie d’une friche Nuit chorégraphique de 21h à 6h du matin (Le public est libre d’entrer et sortir à sa guise)
Par l’émergence du mouvement et sa transformation continue, c’est Avec des mains fragiles quele terrain vague poétique de Cartographie d’une friche se façonne. Cette œuvre nocturne est un tiraillement constant entre ce qui n’a pas le choix de s’effondrer, ce qu’on abandonne, ce qui nous éjecte brusquement et ce qui nous ancre, nous dépose, nous demande de faire partie de plus grand que soi. Ici, le studio devientun grillageentrouvert pour nous permette de nous réunir. Par la coprésence et la fatigue, nous prenons le temps de tracer des chemins éphémères dans l’immensité d’un espace qui n’appartient à personne. Quelque chose oscille doucement entre apocalypses personnelles et apocalypses collectives. Crédit photo Marie-Lou
Processus de création Ce projet est né d’un désir de creuser profondément un univers collectif et de travailler le rapport au temps à travers une performance de longue durée. Requestionnant les codes du spectacle, nous souhaitons inviter les spectateurices, par le mouvement, à habiter un espace de co-présence. Le processus a d'abord été constellé d'écrits épars, puis de recueils ouverts au hasards, collectés sous le thème de la poésie collective, de l’espace indéterminé. Ces mots ont tracé des chemins vers des discussions sur la notion de territoire et d’appartenance. Le terrain vague, comme cartographie, s’est présenté d’abord comme intuition, avant de se sédimenter comme partition. Les états traversés s’inspirent de différents éléments constituants ces espaces urbains intermédiaires, que ce soient les roseaux, les débris, les clôtures et leur gardien. Sur la photo Marie-Anne Rahimi - Crédit photo Marie-Lou
Fjord Gagnebin Artiste queer basé à Tiohtià:ke/Montréal. Sa pratique orientée vers la performance mais prenant comme point de départ le mouvement, explore notamment la distorsion, la création d’univers et la monstruosité. Dans le prolongement d’une pratique autodidacte en cirque et en art de rue, il entreprend un Baccalauréat en danse contemporaine à l'UQAM (2022). Soutenu par le programme de perfectionnement du Conseil des Arts du Canada, il complète sa formation en participant au programme Danceweb du festival Impulstanz (2023). En tant que chorégraphe, sa création Mue.s reçoit une résidence de l’organisme ParBleux (2023) et est présenté au Cabaret de la Haine Éteinte du festival Phénomena (2024). Il œuvre comme interprète avec Peng Hsu dans la création My Aunt Who Might Be A Lesbian (And Her Fish) présentée à la soirée Lots of Love du FTA et à La Serre lors de l’évènement Éclot (2024), avec le collectif Nu.e.s (2022) et la compagnie Toxique Trottoir (2019-2022). Sur la photo : Fjord Gagnebin - Crédit Isa Fuentes
Biographies des interprètes Sur les photo : Carolanne Marguerin, Elizabeth Pelletier, Marie-Anne Rahimi , Hannah Surette, Charlotte Beaulieu,et Mafer Bazo
Mafer Bazo Originaire du Pérou, Mafer Bazo est une artiste en danse basée à Tiohtià:ke/Montréal. Son parcours artistique, profondément influencé par son héritage latino-américain, l’a conduite à explorer une diversité de styles, du folklore péruvien aux danses de salon, latines et urbaines. Elle poursuit ses études à l’UQAM en pratiques artistiques, où elle aura l’opportunité d’incarner des pièces de Helen Simard et Amélie Rajotte. Artiste touche-à-tout, Mafer explore librement diverses formes d’art — arts visuels, stylisme, maquillage, théâtre — des domaines qu’elle aborde sans cadre académique. Caractérisée par son humour et sa théâtralité, elle explore la danse comme un espace de jeu, de métamorphose et de fusion. Son art est nourri par un désir profond de dépasser ses propres frontières, à travers un corps engagé et chaotique. En parallèle de son travail d’interprète, elle a chorégraphié La Station (2021), ¿Nos Casamos ? (2024) et, plus récemment, When Kids Come to Work (2024). Son travail chorégraphique s’inspire de ses origines et de son parcours migratoire, nourrissant une recherche autour du bruit, des couleurs, des accumulations et d’un état d’alerte constant.
Marie-Anne Rahimi Basée à Tiohtià:ke/Montréal, Marie-Anne Rahimi, artiste queer interdisciplinaire d’origine péruvienne et iranienne, pratique l’art performatif, la danse contemporaine, l’impro danse et le théâtre. Son travail s’ancre dans un mouvement somatique, dans l’exploration d’états de corps, le tout accompagné du travail de la voix. Elle débute à l’automne 2022 un baccalauréat en danse, pratiques artistiques, à l’UQAM, où elle a l’occasion de danser pour Amélie Rajotte, Helen Simard et Caroline Laurin-Beaucage, tout en se formant aux côtés de Danièle Desnoyers, Brianna Lombardo, Kelly Keenan et Louise Michel Jackson. Elle se forme en parallèle au festival B12 (Berlin), aux côtés de Meimouna Coffi (travail de la voix et du mouvement), Fabian Wixe (pratique de Flying Low) et Marco Pergallini et Maria Stella Pitarresi (mouvement athlétique). Elle co-chorégraphie et interprète Petite hypoxie (2023) et Micro micro micro (2024), en plus d’être interprète dans les projets Qui de nous (2024), La maison d’Ophélie (2024), Groove Ether (2024) et Chuchotement du sang (2024). Elle collabore activement avec des artistes issu·e·s de la littérature, de la scénographie et du théâtre.
Hannah Surette Interprète-créatrice émergente et queer basée à Tiohtià:ke/Mooniyang/Montréal. À travers ses études au Département de danse de l’UQAM, Hannah se forme auprès de Brianna Lombardo, Danièle Desnoyers, Kelly Keenan, Helen Simard, Amélie Rajotte et Caroline Laurin-Beaucage, entre autres. Sa pratique dansée s’ancre dans une approche somatique et biomécanique du mouvement. Elle se démarque dans des projets chorégraphiques aux qualités théâtrales autant que performatives. Par la danse, elle souhaite se rapprocher d’un art qui est intrinsèquement politique en passant par le jeu et l’absurde, la micro-sensibilité et le monde en macro, la physicalité explosive et la douceur. Aux côtés de Clara Chemtov, elle porte le collectif Projet Ambidanse qui présente sa première œuvre, Everything But the Kitchen Sink, qui remporte le prix du jury à ON THE EDGE Fringe en 2023. Elle est également interprète dans le projet d’improvisation QUI DE NOUS? (2024) et est interprète co-créatrice de micro micro micro (2024). Parallèlement à sa pratique artistique, Hannah enseigne la danse dans des milieux récréatifs où elle cherche à développer, avec ses élèves, la confiance corporelle et l’écoute collective.
Sur la photo Marie-Anne Rahimi et Carolanne Marguerin - Crédit photo Marie-Lou
Elizabeth Pelletier Artiste originaire de Tiohtiá:ke/Montréal. Elle cultive sa passion pour la danse à travers des voyages en Amérique latine et en Afrique, puis atterrit dans une formation en Danga (danse/Yoga) avant de s’engager dans des études en danse à l’UQAM. Son quotidien en mouvement, un échange marquant au Brésil ainsi que ses expériences comme interprète dans des œuvres dansées nourrissent un intérêt profond pour le pouvoir rassembleur de la danse et sa capacité à donner un sens à la vie. Sa pratique est façonnée par la naissance puis le décès de son enfant. Son corps lui permet de s’ancrer dans la réalité, le mouvement devient générateur d’espoir et l’art un lieu dans lequel tout peut exister. Elle y puise une matière infinie pour survivre, se renouveler, questionner, créer de nouvelles réalités.
Charlotte Beaulieu Tout en continuant de payer son adhésion à l’Ordre des travailleurs sociaux, Charlotte fait le choix quotidien de mettre de l’énergie dans : (insérer une tâche qui semble aléatoire). Artiste chaotique, elle a pratiqué le taekwondo de haut niveau, l’anthropologie de bas niveau, l’écriture pour ne pas se noyer, le travail social pour sauver le monde, l’anarchie parce que le monde doit en fait se sauver lui-même et, évidemment, la danse. Basée à Tioh:tia:ke/Mooniyaang/Montréal, Charlotte se forme auprès de Brianna Lombardo, Danièle Desnoyers, Caroline Laurin-Beaucage, et bien d’autres figures inspirantes. Elle affine la sensibilité de son interprétation dans les œuvres d’Helen Simard et d’Amélie Rajotte, tout en affermissant sa voix créatrice par la co-création de micro micro micro (2024), puis par son solo Plus loin que moi (2024). Charlotte s’intéresse à tout ce qui est plus grand qu’elle et est fascinée par le sens qui se dégage de ce qui peut sembler anodin, absurde ou impossible. Ses expériences la guident souvent vers les organes, l’envie de crier, de déborder, de vivre plus fort (et plus doucement).
Carolanne Marguerin Artiste en danse basée à Tiohtià:ke/Montréal. Née à Paris, elle commence à danser à l’âge de 3 ans la danse classique. Après avoir immigré au Québec en 2008, elle continuera le ballet jusqu’à ses 21 ans. Pendant ces années-là, elle touchera aussi au hip-hop et à la danse lyrique. C’est durant ses études au Cégep Saint-Laurent qu’elle découvre la danse moderne et contemporaine. En 2022, Carolanne entame un baccalauréat en danse dans le profil interprétation à l’UQÀM où elle y sera formée entre autres auprès de Danièle Desnoyers, Louise-Michel Jackson, Kelly Keenan, Caroline Laurin-Beaucage et Brianna Lombardo. En commençant ses études tout de suite après un burn-out, elle comprend rapidement qu’utiliser la fatigue du corps peut rendre l’action de danser plus simple. De là est né un intérêt : une constante recherche du point de friction entre l’engagement corporel et la désinvolture du corps. Carolanne exprime dans sa pratique son intérêt au corps et son mouvement en relation à l’espace. Rechercher et ressentir l’énergie du geste à travers la biomécanique du corps est ce qui pique sa curiosité. Elle affirmera sa présence sur la scène à travers les pièces 192 Tâches d’Helen Simard (2024), La Disparition des Choses d’Amélie Rajotte (2024), When Kids Come to Work de Mafer Bazo (2024)
Idéation et chorégraphie Fjord Gagnebin En collaboration avec les interprètes-créatrices Mafer Bazo Charlotte Beaulieu Carolanne Marguerin Elizabeth Pelletier Marie-Anne Rahimi Hannah Surette
Accompagnement dramaturgique Catherine Lavoie-Marcus Assistante aux répétitions Claire Pearl Illustratrice Fanny Bélanger-Poulin Captation et montage du matériel promotionnel Nicolas Arthur Dufour
Conception sonore Glamour Magique (Christian et Rafa) Régie sonore Adrien Poulin Direction de production Alain Bolduc et Xavier Curnillon Assistant à la production Philippe Poirier Technicienne en travaux pratiques: Éliane Marie-Laure Cantin
Département de danse
Le Département de danse de l’UQAM offre un enseignement universitaire qui apporte de nombreux avantages à l’artiste en devenir. Assuré d’une formation rigoureuse au quotidien, il développe tout à la fois technique corporelle et pensée réflexive sur sa profession et ses habiletés