Spectacle des finissant.e.s du Département de danse de l'UQAM | PROGRAMME

Le Département de danse de l’UQAM présente If Nothing Matters Please Be Soft , deux œuvres créées et interprétées par les finissant.e.s du baccalauréat en danse dans le cadre du cours Spectacle chorégraphique libre sous la direction de la professeure Danièle Desnoyers.

Please Be Soft

Il y a une admirable énergie dans l’obstination de la douceur
Platon

Je crois profondément à la force et à l’intangible pouvoir de transformation de la douceur – ce monde en soi. Cinq femmes puissantes, cinq interprètes, s’abreuvent au clairon de cette douceur. Je les imagine déesses, walkyries, ménades. Nous nous y abîmons ensemble et tentons d’y recueillir notre résilience, en puissance. La douceur comme instinct, la douceur comme tendresse, comme sensualité, comme élan de vie. So please, be soft.

Création | Morgane Guillou, en collaboration avec les interprètes
Interprétation | Mélia Boivin, Noah Bride, Hélène Dorland, Ariane Levasseur & Jeanne Rousseau
Répétitrice | Kimberley De Jong
Œil extérieur | Léonie Bélanger & Lila Geneix

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Remerciements
Un immense merci Kimberley. Je te remercie infiniment pour ton soutien, ton écoute, et pour ton incroyable capacité à me comprendre. Merci pour tes éclats de rires et ta bienveillante complicité. Merci à Léonie et Lila pour vos regards doux et précis. Merci à Bastian pour ton œil sensible, tes éclairages et ta vision poétique, en douceur et nuance.

Je tiens à remercier Danièle Desnoyers pour m’avoir accompagnée tout au long de ce processus, ainsi que pour sa confiance et sa bonne humeur. Je remercie Alain Bolduc pour sa collaboration de tous les instants. Merci Em-P, Thomas et La Sécurité pour votre beau travail pour promouvoir nos spectacles.

Enfin, ma profonde gratitude va à mes interprètes, Mélia, Noah, Hélène, Ariane et Jeanne. Votre générosité, votre talent à en percer le plafond, votre fougue sensible et votre travail acharné m’ont permis d’aller si loin, envers et contre tout. Cette pièce est la nôtre. Merci à vous du plus profond de mes tripes.


Morgane Guillou
Mélia Boivin
Noah Bride
Hélène Dorland
Ariane Levasseur
Jeanne Rousseau

Présentation des finissant.e.s :

MORGANE GUILLOU

Issue d’une formation littéraire, spécialisée en études de théâtre et de cinéma, Morgane Guillou, se forme d’abord à la danse à Paris en France auprès de Corinne Lanselle au Studio Harmonic. Cette formation pluridisciplinaire lui permet d’obtenir son diplôme d’aptitude technique en danse contemporaine. Elle intègre en 2019 le Baccalauréat en danse de l’UQAM en pratiques artistiques. Au sein de sa formation, elle collabore à divers projets en tant qu’interprète auprès de Ève Garnier, Emmanuel Jouthe ou encore Andrea Peña. Cette dernière aura un impact décisif sur sa manière d’appréhender la danse comme une expérience profondément humaine, charnelle et spirituelle. Elle découvre la création auprès de Catherine Gaudet, Caroline Laurin-Beaucage et Danièle Desnoyers. Ces trois femmes marqueront son parcours en tant que chorégraphe, lui donnant un espace de permissivité et de liberté rares. Elle s’inspire de différentes approches de mouvement (Tai Chi, Qi Qong, Fighting Monkey) ainsi que des pratiques somatiques pour développer un vocabulaire corporel singulier. Les notions de transformation et d’ambiguïtés glanées auprès de Catherine Gaudet vont instiller une couleur particulière à sa recherche chorégraphique. Elle aime ainsi explorer les notions de polarités, les contradictions et toutes les tensions qui sous-tendent les vécus et les expériences humaines. L’intime et la recherche de l’invisible côtoient un foisonnement et un désir de célébration de nos joyeuses manières d’être.

MÉLIA BOIVIN

Artiste en danse originaire de la ville de Québec, Mélia Boivin est une créature créatrice à l’imaginaire intarissable. Diplômée en anthropologie de l’Université Laval en 2017, elle a depuis soif d’échanges et de partages. Elle se spécialisera entre 2019 et 2022 en danse contemporaine dans le cadre de ses études en pratiques artistiques au Département de danse de l’Université du Québec à Montréal.
Omniprésente dans sa pratique artistique actuelle, sa perspective anthropologique influence ses processus de création aux cent détours. Ils deviennent une quête, parfois même une chasse. Des parcours à obstacles vifs mettant le corps physique et mental à l’épreuve. Des découvertes impromptues d’où se dégage une douce poésie.
Mélia s’intéresse à l’étymologie des mots, à leur polysémie, aux effets qu’ils ont sur nous. Sont au cœur de ses inspirations, la cause environnementale, les enjeux sociopolitiques d’actualité, les tracas et les banalités du quotidien ainsi que le curieux monde des insectes et des animaux

NOAH BRIDE

Intéressée par le corps en mouvement dès son plus jeune âge, l’interprète et créatrice Noah Bride débute sa formation professionnelle en pratiques artistiques au Département de danse de l’Université du Québec à Montréal en 2019.
Originaire de la Guadeloupe, Noah accorde une grande importance à la culture et à l’identité de l’individu. Par ses origines, elle accorde une place fondamentale à la relation entre le corps et la musique. Les rythmes, les états, les dynamiques et les textures sont à la base de son art.
Se considérant comme une enfant du Soleil, sa danse est son grand terrain de jeu.

HÉLÈNE DORLAND

Franco-luxembourgeoise, Hélène Dorland est diplômée en danse classique, contemporaine et jazz, ainsi qu’en kinésiologie du Conservatoire National de Luxembourg. Elle participe aussi aux stages du CND du Luxembourg où elle suit des cours de comédie musicale avec Magali Dahan et Massimiliano Bartolini. Elle intègre en 2019 le parcours double cursus en Licence Arts du spectacle à la Faculté des Arts de Strasbourg et le Conservatoire de Strasbourg en danse contemporaine. Elle y acquiert une réflexion théorique sur sa pratique en travaillant notamment auprès de Mathilde Monnier pour le projet Déroutes chorégraphiques et de Antje Schur, autour de tableaux sonores et vivants impliquant la prise de parole en danse. Ayant un vif attrait pour l’écriture, Hélène se questionne sur le discours de l’interprète en danse. Elle prend conscience du besoin d’évoluer dans un environnement créatif qui favorise l’écoute et la compréhension du corps. C’est au sein du Département de danse de l’Université du Québec à Montréal qu’elle découvre les pratiques écosomatiques auprès de Johanna Bienaise. Elle y enrichit aussi son vocabulaire chorégraphique et sa versatilité d’interprète auprès de Morgane Guillou et de Danièle Desnoyers.
Hélène Dorland est étudiante internationale en échange bilatéral.

ARIANE LEVASSEUR

Basée à Tiohtià:ke (Montréal), Ariane Levasseur utilise le corps comme véhicule artistique principal. Précédemment formée en gymnastique et en arts du cirque, elle poursuit ses études au Département de danse de l’Université du Québec à Montréal de 2019 à 2022. Son parcours lui permettra de travailler en tant qu’interprète avec, entre autres, Caroline Laurin-Beaucage, Andrea Peña, James Viveiros et Emmanuel Jouthe. Ses créations « pétrichor » (2020) et « la mort de l’indifférence ou quelque chose comme ça » (2021) sont présentées respectivement au Festival Québec Cinéma, au festival Passerelle 840 et à La Nuit Blanche de Montréal. Interprète-créatrice, elle continue d’explorer la poésie et l'ambiguïté à travers le mouvement dans différents contextes performatifs.

JEANNE ROUSSEAU

Originaire de Bourgogne, Jeanne Rousseau se forme dès l’enfance à la musique, l’anatomie, la danse contemporaine et classique, et obtient son Diplôme d’Études Chorégraphiques en 2019. Ce chemin lui permet d’intégrer très jeune la Compagnie du Grand Jeté avec laquelle elle collaborera plusieurs années. Elle poursuit sa formation en danse à l’Université Bordeaux Montaigne et débute sa première année de Diplôme d’État de professeure de danse contemporaine au Pôle d’Enseignement Supérieur Musique et Danse. Lassée du cadre académique dans lequel elle se sent à l’étroit, Jeanne cherche à déconstruire ses acquis pour mieux s’en resservir.
Jeanne Rousseau est étudiante internationale en échange bilatéral.

If Nothing Matters

« C’est inconfortable de traverser la fin du monde; mais au moins on est ensemble, les cœurs rivés vers le ciel en attendant le dernier souffle. »
Margot Carpentier

If Nothing Matters célèbre la vie et questionne, à travers les yeux d'un seul groupe, le sort du monde tel qu'on le connait actuellement. Dans une soirée de style open mic, le groupe s'affranchit du regard de l'autre et exulte un cri du cœur collectif. Iels sacrifient leur dernier souffle pour partager un message d’abandon de soi, de transformation et de renversement des pouvoirs. Iels construisent leur propre fin du monde où s'installe un désordre et un chaos dont on ne peut plus se détacher.

Création | Rozenn Lecomte, en collaboration avec les interprètes
Interprétation | Margot Carpentier, Oksanna Caufriez, Iban Garat & Cyrielle Rongier St-Sulpice
Répétitrice | Brianna Lombardo
Œil extérieur | Pamela Aubé & Camille Gendron

Remerciements
Je tiens à remercier tout particulièrement et chaleureusement mes interprètes, Margot, Oksanna, Iban et Cyrielle, pour leur dévouement, leur unicité, leur créativité et leur confiance. Sans vous, cette pièce n’aurait tout simplement pas eu lieu. Merci Brianna pour ta fougue et tes précieux yeux qui ont éveillé chez moi d’autres façons de percevoir le mouvement. Merci Pamela et Camille pour vos retours qui m’ont permis d’avancer plus loin dans ma démarche. Merci Bastian et Francis pour votre engagement et votre travail irréprochable. Merci Em-P, Thomas, La Sécurité et Alain pour toute la belle promotion liée à ce projet. Merci Morgane, Mélia, Noah, Hélène, Ariane et Jeanne d’exister dans cette même soirée et de partager votre art. Finalement, un merci particulier à Danièle Desnoyers, de m’avoir fait confiance pour porter ce projet jusqu’au bout et de m’avoir appris à suivre mon intuition.

Rozenn Lecomte
Margot Carpentier
Oksanna Caufriez
Iban Garat
Cyrielle Rongier St-Sulpice

Présentation des finissant.e.s :

ROZENN LECOMTE

Rozenn Lecomte est une artiste en danse basée à Tiohtia:ke/Montréal. Finissante de l’Université du Québec à Montréal en pratiques artistiques de la danse, elle a pu bénéficier des expertises de Catherine Gaudet, Caroline Laurin-Beaucage, Danièle Desnoyers, James Vivieros et Anne Lebeau, en plus d’être l’interprète d’Andrea Peña et d’Emmanuel Jouthe. Ses premières créations numériques (my emptiness, Melting sadness, This space of Nothingness) ont été présentées au festival Passerelle 840. En mettant en valeur des corps contestataires, Rozenn Lecomte s’inscrit dans une démarche féministe et queer où la technologie rencontre un espace de vulnérabilité.

MARGOT CARPENTIER


Originaire de France, Margot Carpentier étudie la danse dès son plus jeune âge. Elle débute sa formation professionnelle à l’âge de 15 ans à l’école CHOREIA située à Paris. Elle y obtient son diplôme d’Aptitude Technique en danse contemporaine à ses 18 ans, puis y poursuit une formation intensive pluridisciplinaire alliant danses urbaines, musique, contorsion et acrobatie. C’est ensuite à Montréal qu’elle poursuit une formation en pratiques artistiques au sein du Département de danse de l’UQAM. De 2019 à 2022, elle y explore ses capacités d’interprétation et y approfondit ses acquis scéniques en côtoyant des professionnel.le.s de la scène montréalaise tels qu’Andrea Peña, Caroline Laurin-Beaucage, James Viveiros ou encore Danièle Desnoyers. Son travail se déploie à travers une physicalité alliant sensibilité.

OKSANNA CAUFRIEZ

Oksanna entame sa pratique artistique dès son plus jeune âge en étudiant la danse et le violon classique qu’elle pratique rigoureusement jusqu’à ses 16 ans. Très tôt, elle s’intéresse à l’interdisciplinarité en cultivant d’autres intérêts dont le chant et l’écriture. Par la suite, son désir d’approfondir sa pratique l’amène à Montréal afin de se perfectionner en danse contemporaine. D’abord, elle étudie au programme de danse du Cégep de St-Laurent. Puis, elle poursuit sa formation professionnelle au Département de danse de l’Université du Québec à Montréal. Au cours de sa formation, elle étudie entre autres auprès de Lucie Beaudry, Catherine Gaudet, Andréa Peña, Caroline Laurin-Beaucage, Danièle Desnoyers, Emmanuel Jouthe, Anne Lebeau, et James Viveiros.

IBAN GARAT


Né à Bayonne (Pays Basque, France), Iban Garat approche dès l’enfance la pratique du mouvement par la danse traditionnelle basque. Il grandit dans cette culture grâce à Leinua, association avec laquelle il voyagera pour des festivals de folklores internationaux. Il intègre à l’adolescence le Conservatoire Maurice Ravel où il se forme à la danse contemporaine principalement. Vers l’âge de 16 ans, il intègre le Collectif Bilaka, duquel il est toujours membre. Le collectif lui a permis de nombreuses rencontres, collaborations et projets chorégraphiques professionnels avec notamment la Compagnie Kukai Dantza, le CCN Malandain Ballet Biarritz ou les chorégraphes Eneko Gil et Igor Calonge.
En 2019, il intègre la Licence Danse à l’Université Bordeaux Montaigne et valide son Examen d’Aptitude Technique, puis sa première année de Diplôme d’Etat de professeur de danse contemporaine au Pôle d’Enseignement Supérieur Musique et Danse. Pour la rentrée scolaire 2021/2022, Iban décide de réaliser sa dernière année de Licence en échange au Département de danse de l’Université du Québec à Montréal. Il ressort grandi de cette expérience, poursuit son cheminement artistique et approfondit son goût pour la chorégraphie, l’interdisciplinarité, et sa quête de décloisonnement des cases et genres régissant autant la société que l’art et la danse.
Iban Garat est étudiant international en échange bilatéral

CYRIELLE RONGIER ST-SULPICE

Originaire de Lyon en France, Cyrielle débute son parcours artistique en comédie musicale à Paris avant de se tourner pleinement vers la danse contemporaine en intégrant en 2019 le programme de baccalauréat en pratiques artistiques au Département de danse de l’UQAM. En 2021, elle interprète We are ghosts or are we? d’Andrea Peña ainsi que l’adaptation de Suites Perméables d’Emmanuel Jouthe.
Durant sa formation, elle crée son projet Mirage, une vidéo-danse et participe en tant qu’interprète à de nombreuses créations présentées dans le cadre de Passerelle 840. Elle collabore également avec Sebastian Penafiel dans Te prometo que me calmo, vidéo-danse réalisée en 2021.
Son attrait pour les arts visuels et la musique met de l’avant l’importance qu’elle accorde à la multidisciplinarité de l’artiste dans les arts vivants. Force tranquille, elle intègre dans sa pratique l’importance de la douceur, de l’intensité et de l’expérience sensorielle dans le mouvement et dans son interprétation.


Article - Atichaud Magazine
If nothing matters & Please be soft. Une douce fin du monde

Penélope Desjardins


Équipe de production

Lumières | Bastian A. Miranda sous la direction d'Hugo Dalfond
Sonorisateur | Adrien Poulin
Photos et vidéo | Em-P L’Abbée
Musique de la vidéo | La Sécurité
Affiche | Thomas Roy Bourdages
Direction technique | Francis Moisan-Boulanger
Direction de production | Alain Bolduc

PRIX DAVID-KILBURN

Le Département de danse de l’UQAM est heureux d’annoncer que la chorégraphe Lila Geneix est la récipiendaire du prix David Kilburn 2022. Ce prix reconnait la valeur artistique d’un.e diplômé.e. Il vise à soutenir son insertion professionnelle dans la réalisation d’un projet de création présenté dans un contexte professionnel.

Photo Chatelaine Côté-Rioux

En intégrant le baccalauréat en danse de l’UQAM, j’étais déterminé à m’investir pleinement à la création chorégraphique. Diplômée en 2020, je réalise que mon parcours universitaire m’a permis non seulement d’attiser ma curiosité, ma sensibilité et mon éveil du corps, mais surtout de m’encrer dans une démarche esthétique qui m’est propre. Inscrivant ma recherche dans la relation du corps avec l’image picturale et son environnement, je tends à créer des dispositifs où le corps peut s’y arrimer, accuser sa présence et sa mobilité.

Aujourd’hui, je reçois le prix David Kilburn avec beaucoup de reconnaissance. Il soutient le duo Conjurer la (S)Cène initialement présenté à la fin de mes études. Ce travail chorégraphique, teinté de la pratique performative, puise dans Ultima Cena (1495-1498) de Léonard de Vinci pour en extraire une nouvelle narration poétique. Je remercie grandement le comité de sélection ainsi que la famille Kilburn de croire en mon développement de jeune artiste. Les deux années de pandémie qui ont marqué cette recherche ont été un réel défi de patience et de détermination. C’est pourquoi recevoir cette distinction m’offre espoir et encouragement dans la continuité de l’élaboration de mes projets futurs.

LE DÉPARTEMENT DE DANSE DE L’UQAM –  PLUS DE 35 ANS D’INNOVATION

Le Département de danse de l'UQAM est sous la direction de la professeure Danièle Desnoyers et l’unité des programmes de 1er cycle de la professeure Hélène Duval. Son programme de baccalauréat en danse s’adresse à des personnes de tous les horizons (de toutes provenances, de pratiques chorégraphiques diversifiées, de traditions, de cultures, de genres et de styles de danse variés) qui désirent vivre une approche expérientielle de la danse en phase avec notre société en constante transformation.

Au sein de la formation, l’étudiant.e sera invité.e à danser au quotidien, à vivre des projets de création diversifiés en individuel ou en collaboration avec ses pairs et à parfaire son expérience de scène à travers plusieurs spectacles. En plus d’une pratique soutenue, il ou elle sera également amené.e à affiner ses connaissances théoriques sur la danse et à développer ses capacités réflexives et critiques. Ainsi, l’étudiant.e se préparera au monde du travail actuel, mais plus encore : il ou elle saura le transformer en y intégrant de nouvelles pratiques, ou de nouvelles visions artistiques.

Au sein de la formation, l’étudiant.e sera invité.e à danser au quotidien, à vivre des projets de création diversifiés en individuel ou en collaboration avec ses pairs et à parfaire son expérience de scène à travers plusieurs spectacles. En plus d’une pratique soutenue, il ou elle sera également amené.e à affiner ses connaissances théoriques sur la danse et à développer ses capacités réflexives et critiques. Ainsi, l’étudiant.e se préparera au monde du travail actuel, mais plus encore : il ou elle saura le transformer en y intégrant de nouvelles pratiques, ou de nouvelles visions artistiques.

En bref, le programme de baccalauréat en danse prépare à œuvrer en collégialité dans le domaine de la danse et dans son champ élargi pour contribuer à relever de futurs défis professionnels et à bâtir le monde de demain.

Département de danse

Le Département de danse de l’UQAM offre un enseignement universitaire qui apporte de nombreux avantages à l’artiste en devenir. Assuré d’une formation rigoureuse au quotidien, il développe tout à la fois technique corporelle et pensée réflexive sur sa profession et ses habiletés

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Local K-4210
840, rue Cherrier
Montréal (Québec) H2L 1H6